Pour y parvenir, il faut que les hommes cessent de s’en remettre continuellement aux Etats et acceptent enfin d’assumer leur Liberté en développant une conscience planétaire. Il faut alors s’affranchir du carcan des Etats-Nations (mais non des Nations, qui sont des réalités historiques et culturelles) lesquels, par l’entremise de leurs gouvernants dépassés face à l’ampleur de la tâche que cette Révolution implique, feront tout pour que l’ordre ancien perdure, même s’il n’est plus adapté à la révolution technologique et aux périls nouveaux impliqués par la Bombe.
Denis de Rougemont perçoit bien le poids de résistances à l’avènement d’un ordre mondial, mais il refuse de désespérer et affirme que son combat continuera de toute façon.
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